mercredi 20 octobre 2010

Mémo à l'usage des parents concernant les évènements du 24.09.10

Mémo depuis le 24.09.2010 (événements suite à une intervention policière)

1. Pendant l'après-midi du 24 septembre, à partir de 14 h 30 environ, un groupe d'individus est venu dans un des préaux de Geisendorf Central. Il perturbait la bonne marche de l'école. Le Responsable de bâtiments scolaires a contacté immédiatement la police des Charmilles comme le veut la procédure mise en place entre le DIP et le DSPE. Une équipe est rapidement intervenue et a procédé à une fouille des personnes indésirables.
2. Le directeur a signalé à un des policiers que la récréation approchait. Il lui a demandé de continuer son travail hors du préau. Le policier lui a assuré que ce ne serait pas long. Il a continué sur place son travail. A l'heure de la récréation, le responsable de bâtiments scolaires et le directeur ont fait sortir les élèves par une autre porte, de l'autre côté du bâtiment. A relever qu'il y a 15 classes dans le bâtiment. Malheureusement certains élèves ont vite compris qu'il se passait quelque chose d'inhabituel. Ils ont fait le tour par les préaux et ont assisté à la fin de la fouille.
3. Un "debriefing" est donné immédiatement auprès des élèves par les enseignants lorsqu'un cas inhabituel se présente. Aviser l'ensemble des parents reste très délicat car tous les élèves n'ont pas été concernés par cet événement (Il y a 3 bâtiments et 570 élèves à Geisendorf). Le directeur rappelle que les enseignants, le responsable de bâtiments et lui-même sont toujours à disposition pour répondre aux questions des parents. Aucune n'est remontée au niveau de la direction de l'établissement. Par contre le responsable de bâtiments a donné réponse à plusieurs d'entre eux. Une clarification sera donnée au prochain Conseil d'Etablissement (18.10.10) et figurera en annexe du compte-rendu que chaque parent pourra consulter, comme d'habitude.
4. Un événement similaire s'était déjà produit quelques semaines auparavant, pendant les heures de classe, mais au fond du même préau. Plusieurs classes, depuis la fenêtre de leur local, ont assisté à la scène. Les enseignants ont expliqué ce qui se passait. Tout en est resté là, il n'y a eu aucune suite au niveau de l'école ni des parents. Le directeur tient à préciser qu'en dehors des heures de classe, les jours où il n'y a pas classe, des interventions policières ont déjà eu lieu, et ce à la vue de tous ceux qui se trouvaient dans le parc. Ceci n'est pas nouveau pour les élèves de Geisendorf. C'est ce qui explique aussi qu'aucune information n'a été donnée à l'ensemble des parents, comme écrit précédemment.
5. Une semaine après les faits du 24, à la grande surprise du directeur, ainsi qu'à celle du RBS et des enseignants, il reçoit une lettre au texte proche de celui de la pétition, mais dans laquelle il est fait mention d'un enfant du bâtiment central qui a surpris des toxicomanes dans les toilettes de leurs chérubins (sic) ! Pendant une semaine, personne ne leur en a parlé. Généralement, quand un élève surprend des individus n'ayant rien à faire dans l'école et encore moins dans les toilettes, il en informe immédiatement son enseignant, le RBS ou le directeur. Désirant entendre cet élève sur ce qu'il a vu, celui-ci a demandé au signataire de la lettre de bien vouloir lui donner le nom de cet élève : rien à ce jour ! A noter qu'il a reçu 3 fois la même lettre signée de 3 personnes différentes.
6. Le lundi 4 octobre le directeur reçoit par mail la pétition munie des 95 signatures. Si le fond du problème est légitime, il dénonce, comme les enseignants de l'école :
a) la forme : les initiateurs de la pétition ont su par une enseignante et le RBS que le directeur de l'établissement n'était pas le bon destinataire : ils ont néanmoins persisté en y ajoutant son nom, laissant entendre par là qu'il ne prenait pas ses responsabilités. Quant au texte et au style employé pour s'adresser à un directeur, il n'est pas acceptable. Le terme utilisé de "pétition" n'est pas forcément adéquat : une pétition s'adresse à un Conseil municipal, au Grand Conseil, lorsqu'on n'a pas obtenu ce qu'on avait demandé.
b) la manière dont ont été récoltées des signatures : certaines personnes ont signé sans qu'on leur montre le texte de la "pétition", n'ayant sous les yeux qu'un titre "pétition pour la sécurité de nos enfants à Geisendorf". Les enseignants de l'établissement ont réagi à ce sujet, et le directeur les en remercie.
c) Les initiateurs de la pétition n'ont même pas pris la peine de se renseigner sur ce qui 's'est réellement passé et sur ce qui se fait dans le domaine de la sécurité depuis plus d'une année.
7. Le lundi 4 après-midi s'est tenu une séance du groupe « parc et préaux Geisendorf ». Les participants ont pris connaissance de la pétition, et de ce qui figure ci-dessus. Ce groupe poursuit ses travaux qui débordent largement la sécurité des préaux pendant l'horaire scolaire. Certaines instances vont mettre sur pied des actions.
8. Le lundi 4, à 17 h., le directeur reçoit un téléphone d'une journaliste de la TG voulant savoir ce qui s'est passé. Il lui demande de lui formuler ses questions par écrit. Les réponses apportées ont été validées par la personne chargée de la communication avec les médias au Secrétariat général du DIP, et par son homologue de la Ville de Genève.
9. Vendredi 8 octobre le directeur reçoit en entretien la présidente de l'APEG, Mme Frigenti-Empana; M. Affentranger, RBS, y participe aussi. Ils lui expliquent ce qui précède. De son côté, Mme Frigenti leur fait savoir que son APE ne cautionne pas la pétition et qu'elle le signifie par lettre au chef du DIP et à la cheffe du Service des écoles de la Ville de Genève. Elle remet au directeur copies de ces lettres. Une clarification du rôle et des responsabilités des uns et des autres semble s'imposer. A ce sujet, un courrier aux parents d'élèves est distribué le lundi 11 octobre.
10. Dans l'article de la TG, il est écrit que certains bâtiments restent ouverts pendant les heures scolaires. Certains oui, pour différentes raisons, comme par exemple l'accueil au Cycle Elémentaire (8 h. - 8 h. 45 ; 13 h. 30 – 14 h.), l'accès au local de l'infirmière qui reçoit des parents avec leurs enfants pendant les heures de classe.
11. Il est mis également que des personnes extérieures à l'école entrent dans les locaux scolaires pour se rendre, notamment, aux toilettes. Pendant les heures scolaire, pas à la connaissance du directeur. Les seules qui ont été priées de quitter le bâtiment Central, 3 ou 4 fois dans l'année, sont des anciens élèves de l'école, actuellement au CO, et qui prétendaient venir rendre visite à leurs anciens enseignants... mais c'était à des moments inappropriés, 15 h. 30 par exemple. En dehors des heures scolaires, depuis que le directeur a pris ses fonctions, en août 2008, il y a rarement eu des intrus. Ces personnes ont été priées par les nettoyeurs de quitter immédiatement les lieux. A relever que 2 fois sur 3 il s'agissait de parents d'élèves avec ou sans leurs enfants.
12. Aux parents qui sont manifestement inquiets quant à la sécurité apportée à leurs enfants, le directeur et le RBS peuvent leur répondre ceci : à leur demande, il y a plus de 18 mois, un groupe « parc les préaux Geisendorf » a été constitué, groupe qui comprend différents partenaires (Enseignement primaire, Ville de Genève, gendarmerie cantonale, police municipale, UAC, FaSE, APE,...). Ce groupe fait tout ce qu'il peut pour garantir la sécurité des enfants. Des responsables de ces différentes unités se réunissent régulièrement afin de mettre sur pied des actions concernant l'occupation du parc notamment. Le Conseil d’établissement est régulièrement informé des travaux de ce groupe.
13. Pour ce qui est de la surveillance des préaux pendant les heures de classe, en dehors des récréations, elle n'incombe pas aux collaborateurs de l'Enseignement primaire, il n'a pas de personnel dévolu à cette tâche. Elle est du ressort de la police et de la gendarmerie. Le directeur rappelle que nous avons des préaux ouverts situés dans un parc, et qu'il s'agit là d'une décision politique.
14. Concernant la sécurité dans le parc et dans les préaux, pendant les heures de classe et en dehors des récréations, il est indispensable que chaque utilisateur en général, et les parents d'élèves en particulier prennent leurs responsabilités pour dénoncer aux instances policières tout comportement suspect ou inapproprié qu'ils verraient. Cela n'est pas que du ressort de l'école. 3 exemples pour montrer que n'importe quel utilisateur doit aussi alerter ces instances :
a) Un après-midi, alors que les élèves étaient en classe, une maman aperçoit un groupe de jeunes en train de se "shooter" dans un préau. Au lieu d'appeler directement la police, elle envoie un sms au RBS qui se trouvait en réunion et qui avait débranché son portable. Il lit son message bien trop tard.
b) Un lundi matin, un garçon de 4e P interpelle le directeur et lui dit avoir vu un exhibitionniste, mimant ce que ce dernier faisait.
- Où était-ce ?
- Près de la villa Lamartine.
- Quand ?
- Hier dimanche.
- Tes parents ont-ils avisé la police ?
- Non.
c) Certains initiateurs de la pétition relèvent l'insécurité dans le parc, mais ils y laissent néanmoins leurs enfants le mercredi. L'un d'eux ne s'est d'ailleurs pas privé de lancer une pierre contre une vitre de l'école et de la briser. Il mettait sans doute là à exécution tout ce que l'école a inculqué à ses élèves concernant le respect, respect au sens large !
15. Mardi 12 octobre, M. Pierre Maudet, Conseiller administratif de la Ville de Genève, en tournée d'inspection dans le quartier, s'entretient de la situation avec des représentants de la police municipale (qui relève de son dicastère), des représentants de la gendarmerie, la présidente de l'APEG, le RBS et le directeur de l'établissement de Geisendorf.
16. Ce même jour, une enseignante de Central remet au directeur une lettre des parents d'un de ses élèves, lettre dans laquelle il est fait notamment mention de la possibilité de placer des barres de sécurité à toutes les portes d'entrée de Central. Renseignements pris auprès du Service des écoles, cela ne pose pas de problème, mais il faut que la demande émane du COET. Techniquement peut-être, mais pratiquement ? Si le bâtiment est fermé à clé dès 8 h. 10 et 13 h. 40 environ, comment les retardataires entreront-ils ? Comment les parents viendront-ils chercher leurs enfants pendant les heures de classe pour les emmener chez la logopédiste ou le médecin ? Le directeur rappelle que les enseignants n'ont pas de téléphone dans leur classe hormis le MA et que, selon les directives du DIP, l'usage du portable est interdit en classe aussi bien par les élèves que par les enseignants. Il rappelle aussi que l'Etat n'a pas de personnel de secrétariat à plein temps et la Ville n'a pas d'huissier pour filtrer les entrées dans le bâtiment. D'autre part, il serait exclu de laisser partir un élève seul pendant les heures, ne serait-ce que pour rejoindre un parent dans le préau, sans qu'il y ait un contact visuel entre l'enseignant et la personne venant chercher un élève, ce même avec une décharge du responsable légal. La responsabilité de l'école reste trop engagée.
17. En résumé, par rapport aux faits, la situation vécue le 24 septembre est peu fréquente. Le nombre d'appels à la police ou à la gendarmerie, pendant les heures de classe, est peu important aussi (2 à la police municipale depuis le début de l'année scolaire). Il reste variable selon les saisons et les fréquentations des préaux par des groupes de personnes indésirables. En l'absence du directeur ou du RBS, n'importe quel enseignant peut téléphoner aux instances policières s'il est dérangé par des intrus, également s'il en aperçoit dans les bâtiments. Le RBS, et le directeur, si son emploi du temps le lui permet, marquent de leur présence les préaux et l'intérieur des bâtiments : ils ont ainsi pu régler à leur niveau plusieurs situations inadéquates. Mais l'établissement compte 5 bâtiments et 5 préaux, sans compter le jardin autour de la villa Lamartine.
18. Il est donc important que dans le contexte parc que nous vivons actuellement chacun prenne ses responsabilités, et que chacun prenne aussi la peine de se renseigner avant d'entreprendre certaines démarches. L'école a toujours été à l'écoute de ses interlocuteurs et s'efforce de leur apporter des réponses qui relèvent de son champ de compétence. Elle en attend de même d'eux.



M. Junod
le 19.10.210

mardi 12 octobre 2010

Memento 2011-2012 à l'usage des parents

Memento 2011-2012
Adresses et coordonnées téléphoniques

DGEP 022 546 75 00
Direction générale de l'enseignement primaire
Rue Calvin 11
1211 Genève 8

M. Michel JUNOD directeur
(bureau Geisendorf-Central)
Établissement Geisendorf Central-Faller-Poterie
Rue de Lyon 56
1211 Genève 13

Mme Ruth VIENAT infirmière
Présente les lundis, mardis, et vendredis de 7h45 à 12h et les jeudis de 13h30 à 17h30
 022 339 30 65

Central
022 307 28 60
Faller
022 339 30 65
Poterie
0228096760

Service santé jeunesse
(SSJ)
022 546 41 00

Secrétaire
Mme Sabrina SABATINI
022 546 39 52
lundi et Vendredi 8h15-14h - mercredi 8h-12h30

Direction d'établissement : M. Michel JUNOD
Maître adjoint : M. Bernard LAMBELET (DM) Central
Maîtresses adjointes : Mmes Brigitte DANIEL (DE) Faller et Stéfanie STUDER ZURCHER
(DE) Poterie


Rattachés à la Direction générale de l'enseignement primaire (DGEP), les directeurs d'établissement représentent l'autorité scolaire. Ils sont garants du travail accompli par les équipes enseignantes et ont pour missions principales de conduire un projet développant les priorités pédagogiques de l'établissement, de prendre les décisions relatives au parcours scolaire des élèves et de développer des relations avec les partenaires de l'école.

Les MA désignés appuient les directeurs dans certaines de leurs tâches administratives et pédagogiques.

3.Corps enseignant de l'établissement

Geisendorf Poterie (C1)
1P
Mme Nathalie DELIOT
2P
Mme Marlene MAGALHAES DE ALMEIDA et Mme Nathalie CARRARD
3P
Mme Stéphanie STUDER ZURCHER
3P
Mme Mélanie TRELEANI HOCH
4P
Mme Nicole CHAVAILLAZ
4P
Mme Denise RENET


Geisendorf Faller (C2)
1P
Mme Béatrice NICOLET
1P
Mme Hélène POGGIANI et M. Jean-Christophe LING
2P
Mme Caroline BOCCARD
2P
Mme Brigitte DANIEL
3P
Mme Debora LABORET
3P
Mme Sofia LOPES
4P
Mme Coralie FREIDIG

Geisendorf Central (C2)
5P
M. Bernard LAMBELET et M. Jean-Christophe LING
5P
Mme Sabine de BENEVIX MEHL et Mme Nathalie CARRARD
5P
Mme Kariné OHANNESSIAN
5P
Mme Sarah PERIAT
6P
Mme Charlotte BARAZZONE
6P
Mme Arielle JORNOD et M. Philippe DIDIER
6P
Mme Monique GRANGIER et Mme Christelle ROTEN DORSAZ
6P
Mme Magali SANTALUCIA
7P
Mme Sylviane BAPST PILLER
7P
Mme Stéphanie REY
7P
Mme Nadine WILLENER
7P
Mme Isaline ROULET
8P
M. Vicor CAMPOS
8P
M. Nicolas FOUCHARD
8P
Mme Claire PEREN

4.Enseignantes chargées du soutien pédagogique

ECSP (Poterie)
Mme Catherine ANZILLE BODENMANN (Poterie)
ECSP (Faller)
Mme Véronique CORBAZ CELETTA
ECSP (Faller)
Mme Deborah ISABELLA-VALENZI
ECSP (Central)
Mme Marie-Claude MONJON ODIER

Les enseignantes chargées du soutien (ECSP) permettent d’augmenter les forces du corps enseignant de l’école. Elles sont détachées de la charge d’une classe pour :

apporter une aide particulière aux élèves ne parlant pas ou peu français;
permettre un meilleur encadrement des élèves, par un travail en groupes plus restreints durant les périodes de décloisonnement et dans les différents projets établis, selon les besoins, avec les enseignants;
apporter aux élèves en difficultés d’apprentissage une prise en charge hors de la classe par petits groupes, ou une aide au sein de la classe;
participer au suivi collégial du parcours des élèves (évaluations et décisions concernant les élèves avec lesquels elles ont travaillé).





5.Classe d'accueil

CLAC (Faller )
Mme Dominique LUISIER
CLAC (Central)
Mme Véronique CORBAZ CELETTA

La classe d'accueil, à petit effectif, est destinée aux enfants allophones domiciliés dans le canton pour leur apprendre le français et leur permettre une intégration rapide dans une classe ordinaire. Ces élèves la fréquentent à 50%, le reste du temps ils sont intégrés dans une classe de référence en fonction de leur âge.

6.Maîtres spécialistes (MS)

Rythmique
Mme Marika JAEGGER PASCHE
Musique
Mme Marion FONTANA
Arts Visuels
Mme Veronique CHEVROT et Mme Marianne SOTTAS
Éducation physique
M. Kevin Monbaron et Mme Aude OGEA

Les maîtres et maîtresses spécialistes complètent l’enseignement dispensé par le titulaire de classe dans ces disciplines. Ils privilégient un climat dans lequel l’élève peut s’exprimer, matérialiser un projet et approcher divers univers : corporel, musical, artistique (gymnastique, psychomotricité, musique, rythmique, expression plastique). Ils participent ainsi à l’épanouissement de la personnalité de l’enfant.

7.Infirmière scolaire : Mme Ruth VIENAT (022 307 28 65)

Soumise au secret médical, Mme Ruth VIENAT est à la disposition des élèves et de leurs parents.
Une visite obligatoire est prévue pour les élèves de 2P pendant l’année scolaire ainsi que pour les nouveaux élèves. Le but de cette visite est de créer un contact avec les parents, de parler ensemble de l’enfant, de son adaptation à la vie scolaire, et d’aborder différents aspects de la santé, tels que l’alimentation, le sommeil, etc. Mme Ruth VIENAT rencontre régulièrement les élèves sans leurs parents tout au long de leur scolarité. Suite à ces visites, elle prend contact avec la famille, si nécessaire.

8.Responsable du bâtiment (RBS) : M. Olivier AFFENTRANGER

M. Olivier AFFENTRANGER est le responsable des bâtiments scolaires. Il a pour mission principale d'entretenir l'établissement de Geisendorf Central-Faller-Poterie, propriété de la commune de Genève dont il est l'employé. Il participe également de près à la vie de l'école en étant très présent lors de toutes les manifestations scolaires.

9.Activités hors temps scolaire

Restaurant scolaire

L’accueil de midi s’adresse aux élèves de la 1P à la 8P qui restent à l’école entre la fin de la classe du matin et la reprise de l’après-midi. Les animateur(trice)s parascolaires prennent en charge les enfants dès leur sortie de l’école, les accompagnent au restaurant scolaire, mangent avec eux et animent les parties récréatives, avant et après le repas.
Merci de respecter l’horaire indiqué et de penser à excuser vos enfants pour toute absence. Le numéro d’appel pour l’annulation du repas est le 022 345 25 79 (entre 6h30 et 8h45). Lorsqu’une sortie, pour toute une classe ou pour l’école, est prévue, l’enseignant-e titulaire se charge de prévenir les restaurants scolaires de l’absence des enfants. En cas d’annulation de la sortie, les élèves qui fréquentent le restaurant scolaire ce jour-là emportent alors un pique-nique.

Activités surveillées

L’accueil de l’après-midi s’adresse également aux élèves de la 1P à la 8P. Dès la sortie des classes, les enfants se rendent au point de rencontre du parascolaire, reçoivent un goûter et s’adonnent à diverses activités à l’intérieur ou à l’extérieur de l’école. En cas d’absence, merci de prévenir en appelant le 022 345 93 84 (répondeur)


Études surveillées

Les études surveillées s'adressent aux élèves de la 3P à la 8P qui ont besoin d’un accompagnement pour dépasser leurs difficultés et se mobiliser autour de leurs apprentissages. Des enseignant-e-s apportent une aide aux devoirs le lundi ou le mardi entre 16 et 17 heures à ces élèves. Les parents qui désirent inscrire leur(s) enfant(s) aux études surveillées (lieu d'études) contactent le titulaire de classe.

10.L'Office médico-pédagogique

Ce service regroupe des psychologues, des logopédistes et des psychomotricien-ne-s. Lors de difficultés constatées à l’école, l’enseignant-e peut conseiller aux parents de recourir à l’aide de ce service pour une consultation.

Adresse de l'Office Médico-Pédagogique : 25, rue Daubin
(secteur Balexert-Charmilles) 1203 Genève
 022 388 14 88

11.Les ateliers du livre (ATL) de l'établissement (bibliothèques)

L'ATL de la division élémentaire se trouve à Faller. Les élèves la fréquentent avec leurs titulaires et peuvent y emprunter des livres.
Celui de la division moyenne se situe à Central. Les élèves y ont également accès en dehors des heures scolaires (heures d'ouverture affichées) pour faire des emprunts.
Nous vous remercions de veiller au soin des livres empruntés et au respect des délais de prêt. Les livres abîmés ou perdus devront être remboursés, ou remplacés.

12.Association des parents d'élèves

L'APEG est un groupement de parents désireux d'établir et d'organiser une collaboration active entre les parents et l'école. Pour la contacter, merci de consulter ses panneaux d'affichage.

13.Conseil d'établissement

Espace d'information, de consultation, de proposition et de délibération, il réunit les principaux acteurs impliqués dans la vie de l'établissement.

Présidence
M. Michel JUNOD, directeur de l'établissement
Représentants des enseignants
Mme Nathalie CARRARD - Mme Véronique CORBAZ
CELETTA - Mme Nathalie DELIOT - M. Nicolas FOUCHARD
Représentants des parents
Mme Annick DOUTAZ - Mme Maria SCHWAGER - M. Alain DUPRAZ
- M. Jean NANGA
Représentants de la Ville de Genève
Mme Véronique FERREIRA et Mme Noémie SOMMER BARROW
Responsable du bâtiment (RBS)
M. Olivier AFFENTRANGER
Infirmière
Mme Ruth VIENAT
Invités permanents
Mme Eliane BERNARD, GIAP (parascolaire)

Les sujets abordés visent à renforcer les relations entre l'établissement et son environnement (parents, commune, quartier, etc.). Les ordres du jour et comptes-rendus des trois ou quatre séances annuelles sont affichés. Des résumés sont distribués aux parents, qui en font la demande.


14.Site internet

L'établissement Geisendorf Central-Faller-Poterie possède un blog que vous pouvez consulter sans autre : http://etablissementgeisendorf.blogspot.com. Celui-ci est dans une phase de démarrage, et s''enrichira au cours des mois à venir.

Compte rendu du COET du 14/06/10

Conseil d'Établissement de Geisendorf Central-Faller-Poterie
Compte-rendu de la séance du 14 juin 2010
Présents : Mmes Nathalie Carrard , Véronique Corbaz Celetta et Nathalie Déliot, M. Nicolas Fouchard (représentants des membres élus des enseignants).
Mmes Maria Schwager, Eva Triano, Annick Doutaz, et M. Alain Dupraz (représentants des parents d'élèves).
Mme Véronique Ferreira (représentante de la Ville de Genève).
Mme Eliane Bernard (représentante du GIAP).
Mme Ruth Viénat (infirmière).
M. Olivier Affentrager, (représentant du personnel technique de l'établissement).
Mme Florence Charvoz, (représentante de la maison de quartier des Asters).
M. Michel Junod (Dir-E) et Mme Sabrina Sabatini (secrétaire).
Mme Christine Meyer (représentante de la police cantonale).
1. Sécurité dans le parc (y compris point 4.4 propreté dans le parc) :
M. Junod prend la parole et informe l'ensemble des membres du COET qu'il y a une montée en puissance de la fréquentation des groupes de jeunes autour de l'établissement. Ceux-ci viennent à tout moment, pendant les heures scolaires, ils entrent parfois dans l'établissement. Un représentant des membres des parents demande si c'est possible d'avoir une surveillance vidéo. M. Junod explique que ce n'est pas prévu pour le moment.
Lors de la dernière rencontre du conseil d'établissement il avait été envisagé que l'APEG écrive un courrier à la cheffe du Département des Institutions. Le directeur demande la suite de cette démarche. Une représentante informe que suite à un vote avec les membres de l'APEG, la décision d'écrire un courrier a été rejetée.
Un représentant des parents d'élèves informe que le Service des Écoles propose de fournir un pack (gants, masque), pour faire un tournus entre classes pour nettoyer le préau. M. Junod informe que ce n'est pas aux élèves de l'établissement de nettoyer la saleté des autres utilisateurs du préau, car le problème ne vient pas des élèves mais des personnes extérieures.
Un représentant des membres des enseignants fait remarquer que beaucoup d'élèves sont livrés à eux-mêmes en dehors des heures scolaires, ceux-ci fréquentent le parc et se mélangent avec les groupes de jeunes qui ne sont pas aussi gentils qu'on peut le penser. Il serait important de relayer l'information aux parents de ces enfants.
La représentante de la maison de quartier des Asters demande si c'est possible d'avoir des espaces sécurisés. Suit alors un débat autour de ce sujet. Aucune possibilité de fermer les préaux, il faudrait s'approprier ce parc mais les moyens sont trop faibles pour le faire actuellement. Le directeur propose que le COET écrive un courrier informant la dégradation de la situation au parc Geisendorf à la cheffe du Département des Institutions. Toutes les personnes votent à l'unanimité pour cette initiative. M. Junod préparera un projet de lettre.
2. Lecture de la réponse du CE, M. Charles Beer, à la lettre de l'APEG :
Un représentant des membres des parents fait la lecture de la lettre envoyée le 5 mars 2010 à M. C. Beer, qui demande un éducateur/trice pour l'établissement de Geisendorf. Le directeur lit la réponse du 1er avril. M. C. Beer, explique à la place d'un/une éducateur/trice, la présence d'un civiliste, car cet établissement ne répond pas au besoin d'une école en REP. Il est constaté par les membres du COET qu'il y a une différence importante entre un/une éducateur/trice et un civiliste dont la formation professionnelle peut être très différente.
L'APEG va à nouveau faire un vote pour savoir si oui ou non il faut insister auprès du Conseiller d'Etat pour obtenir un/une éducateur/trice.
M. Junod informe qu'il est à l'étude, au niveau de la Direction Générale, de la présence d'éducateurs au sein des régions.
3. Présentation de l'établissement aux parents des futures 1ères enfantines : déroulement de la séance :
Plénière :
présentation de l'établissement par le directeur, suivie d'une intervention de l'infirmière, du GIAP et de l'APEG;
discussion en groupes linguistiques animés par des enseignantes et des parents bilingues (portugais-espagnol-anglais-français);
Plénière : retour des travaux de groupes, questions éventuelles.
4. Communications et divers;
4.1 Situation de l'établissement et 4.2 organisation pour 2010-2011 :
Pour la rentrée 2010-2011 l'établissement compte environ 580 élèves dont 75 nationalités différentes et 50 langues maternelles.
64 inscriptions de 1ère enfantine, dont 24 allophones.
3 classes de 1ère enfantine : 2 à Geisendorf-Faller et 1 à Geisendorf-Poterie.
6 classes à Poterie et 7 à Faller.
15 classes à Geisendof-Central et 2 CLAC, moyenne par classe 20,5 élèves.
45 collaborateurs; 3 départs pour d'autres écoles. Mmes De Luca Fernandez (Faller), Dumitrescu et Magnin (Central). Ces personnes seront remplacées, mais actuellement nous ne savons pas encore les noms des futurs enseignants.
L'organisation des classes peut encore subir des modifications jusqu'à la rentrée du 30 août 2010.
Poursuite de l'atelier lecture/devoirs : pour les 2ème primaire l'an prochain par l'APEG, les bénévoles et l'UAC. M. M. Junod se chargera de trouver une salle pour cet atelier.
4.3 Suite action sur le respect
M. Junod met à disposition le journal Patchwork qui a été créé par les élèves de l'établissement, avec l'aide d'un groupe d'enseignants.
L'initiation au dialogue philosophique en classe, est appréciée par les élèves, les enfants apprennent à s'écouter, à formuler des idées claires, à défendre leurs points de vue.
Un représentant des enseignants informe qu'il est encore trop tôt pour donner plus d'informations à ce stade de l'introduction de ce type d'activité.
Le directeur remercie tous les membres du COET, l'APEG pour ses actions et enverra un mail pour fixer la date du prochain conseil à la rentrée des classes.
Compte-rendu pris par Sabrina Sabatini le 14.06.2010.